Le cocktail de fermeture du colloque, ouvert à toustes, sera un moment de convivialité et d’échanges après plusieurs jours riches en réflexion et discussions. Cet événement permettra aux participant-e-s de se retrouver dans une atmosphère détendue pour partager leurs impressions et prolonger les conversations initiées lors des panels. Dans une ambiance chaleureuse, les invité-e-s auront l’occasion de profiter de boissons
Le panel « Postcolonialité : Impérialismes et violences étatiques » examine les dynamiques postcoloniales mettant en lumière la persistance de l’impérialisme et illustrant les complexités des héritages postcoloniaux dans ces régions du Sud global. Ce panel est composé des communications suivantes : « Le contrôle d’identité comme pratique de contrôle social : le cas des jeunes du quartier populaire Sidi Hassine en Tunisie, entre stigmatisation et
Le panel « État d’exception et démocratie sanitaire : COVID-19 et politiques publiques » explore les implications de la pandémie sur les appareils biopolitiques à l’échelle international. Ce panel est composé des communications suivantes : « COVID, état d’exception, et création de l’épistémè — une histoire du présent » par Khalid M’Seffar, étudiant au doctorat en sciences juridiques à l’UQAM. « La rhétorique droit-de-l’hommiste comme stratégie argumentative
Le panel « États et politiques publiques en Amérique du Nord : Regards critiques » offre une réflexion critique sur les politiques publiques et les dynamiques étatiques dans un contexte nord-américain complexe et en évolution, explorant la privatisation du système de santé au Québec, les évolutions du syndicalisme québécois, la criminalisation persistante du travail du sexe au Canada, et les défis de la
Le panel « Révolutions et histoire sociale : continuités et ruptures » offre une remise en question sociohistorique des révolutions et de leur influence sur la pensée politique moderne. Ce panel est composé des communications suivantes : « La Révolution française, une non-transition au capitalisme » par Émile Brassard, étudiant à la maîtrise en science politique à l’UQAM. « Révolution bourgeoise et transition au capitalisme : le cas
Le panel « Souverainetés autochtones et colonialisme québécois-canadien » offre une réflexion approfondie sur les enjeux de la souveraineté et de l’autodétermination des peuples autochtones dans un contexte colonial. Ce panel est composé des communications suivantes : « Souverainetés et capitalismes autochtones : le cas des casinos » par Marion Obonsawin, étudiante à la maîtrise en science politique à l’UQAM. « (Ré-)affirmer sa souveraineté autochtone sans tomber
Le panel « Par-delà l’identité » propose une réflexion sur la reconnaissance, l’identité et la subversion des normes sociales par l’exploration des limites dans la compréhension de l’Autre et du langage, des dangers d’une reconnaissance institutionnalisée ainsi que des mécanismes de marginalisation et d’exclusion. Ce panel est composé des communications suivantes : « Les Monstres Miroirs : Réflexions sur l’altérité hostile à travers les représentations
Le panel « Effritement de l’hégémonie humaniste » offre une exploration multidimensionnelle des défis contemporains à l’hégémonie humaniste, en mettant en lumière les tensions et les transformations qui redéfinissent nos conceptions de l’humanité et de son rapport à la nature. Ce panel est composé des communications suivantes : « Antispécisme et racialisation » par Lucas Krishnapillai, étudiant au doctorat en science politique à l’UQAM. « Nature
Le panel « Hégémonie et contre-hégémonie culturelle » promet une réflexion approfondie sur les mécanismes de pouvoir culturel et les stratégies de résistance qui les contestent, offrant des perspectives critiques essentielles pour comprendre les dynamiques culturelles contemporaines.
Nous sommes ravis de vous convier à l’ouverture officielle du Colloque AECSSPD 2023-2024 sur le thème « Légitimité, Autorité et Révolution ». Cet événement débutera le 29 avril 2024 à 10 h et se déroulera jusqu’à 11 h à la salle des Boiseries à l’UQAM. Mot d’ouverture par Rémi Bachand, professeur des sciences juridiques à l’UQAM spécialisé en théories critiques de droit international. M. Bachand est